Bonjour à toutes,

Deux belles citations de Gandhi, l'une sur les femmes et l'autre sur l'euthanasie, Josyane
« Appeler les femmes le sexe faible est un mensonge. C’est une injustice des hommes faite aux femmes. Si la non-violence est la loi de nos êtres, le futur est avec les femmes"

Voir l'autre citation de Gandhi sur la page du thème de la mort
merci Josyane

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Bonjour,

un rappel bien utile sur le féminisme sur France culture... Aude

Voir l'article d'Aude à la rubrique contributions

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Bonjour ,

A propos du suicide, je voudrais rappeler l’attitude de la société dans le monde chrétien dans les siècles passés, au 17ème, 18ème siècle en France, un suicidé, c’était la honte absolue sur la famille, le corps jeté aux chiens, pas d’enterrement, il fallait que la famille  paie à prix d’or pour racheter le corps et l’enterrer quelque part, mais en dehors du cimetière. Le suicidé était « damné » pour l’éternité. C’est tout cela qui est encore présent dans l’inconscient collectif. Et je me souviens, j’avais une quinzaine d’années, un voisin de seize ans s’était suicidé, le curé à l’église n’avait pas eu de mots assez durs pour fustiger le "coupable." Croyance, croyance… Frédérique

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Bonjour,

Au sujet des soins palliatifs et de l'acharnement thérapeutique, la mère d'une voisine, 85 ans, souffrant terriblement de rhumatismes acticulaires extrêmement invalidants, a été réanimée plusieurs fois d'un coma malgré ses demandes répétées qu'on la laisse partir. Tout cela vient de la peur et du refus de la mort tellement ancrées chez les soignants actuels. Le bouddhisme peut vraiment apporter beaucoup sur cette question. Odile

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Bonjour,

Le thème sur la mort me parle beaucoup, j'ai réalisé récemment qu'à notre époque, c'est très courant, et même habituel qu'on arrive au milieu de sa vie sans avoir vu soi-même quelqu'un mourir. Même si, comme c'est inévitable, il y a dans la famille ou dans notre entourage des personnes qui disparaissent, on ne les a pas VU mourir. La mort garde quand même un caractère irréel.
Le moment de la mort était une expérience que les générations passées faisaient régulièrement (vu en particulier la mortalité infantile), maintenant, il se déroule à l'hopital, et on n'est pas forcément dans la chambre du mourant à cet instant là, comme c'était le cas quand les gens mouraient chez eux. Fabienne

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Bonjour,

Ma contribution aussi sur Kalou Rimpoche, Sagesses bouddhistes et nos projections. Danièle

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Bonjour,

J'ai regardé le "nouveau" Kalou Rimpoche à Sagesses Bouddhistes, un être magnifique, nourri de la pratique depuis son plus jeune âge, et aussi pur produit des monastères tibétains, dans ses propos sur l'éducation, le père met de l'argent de coté pour son "fils", eh oui, pas pour les filles qui comme toujours n'existent pas. Les femmes et leurs filles sont des objets exotiques et abstraits dans le monde mental des moines tibétains... et zut

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Bonjour,

Toujours sur le conditionnement des enfants, je vous envoie quelques reflexions sur Zorro ! Monique

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Bonjour,

J'ai regardé moi aussi le documentaire Dakinis diffusé à l'occasion du 8 mars (peu de célébrations à la télévision, c'est le moins qu'on puisse dire) et moi aussi, j'ai été très touchée par le rayonnement de ces femmes tibétaines, exemplaires de courage, de force, de joie. Et aussi le message de Sogyal Rimpoche sur des femmes maitres, importantes dans les lignées.
Alors, pourquoi n'y a-t-il jamais de portraits de femmes dans les nombreuses galeries de maitres affichées dans les centres ?
Et les tibétaines ? est-ce qu'elles souhaitent toujours "accumuler" du mérite pour avoir "la chance" de renaitre homme ?
Et les nonnes, après des années, on attend toujours un signe de changement dans la mentalité des lamas qui freinent des quatre fers pour ne pas accorder l'ordination complète aux femmes.
Il est temps que les choses bougent enfin ! Danièle

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Bonjour,

Sur Arte, à l'occasion de Paques, une soirée consacrée à ce que pense l'Eglise.
Ce qui m'a frappé dans cette soirée sur les positions de l'Eglise sur des questions d'éthique, fécondation in vitro, avortement, c'est que jamais n'a été souligné par la réalisatrice et le producteur le fait que les femmes, premières concernées, voire seules concernées dans des questions qui engagent leur vie toute entière, sont toujours absentes des débats, que se sont toujours des hommes (ayant fait voeu de chasteté) qui "en leur âme et conscience" décident de ce qu'est la volonté de "Dieu" . Et donc, à nouveau, dans l'émission, nous avons eu droit à la docte parole de ces messieurs.
Le fait même que les réalisateurs, (trices) de cette soirée ne le soulignent pas montrent l'épaisseur sidérante de leur conditionnement !
Une seule phrase, en passant : Nous avons appris que Thomas d'Aquin, le grand théologien de l'Eglise, précisait, grâce sans doute à une révélation divine, que les garçons recevaient une âme 40 jours après la conception, mais pour les filles il fallait 80 jours, (forcément, les femmes ne sont-elles pas encore à moitié animales, les théologiens se sont même posés la question : la femme a-t-elle une âme ? ). Eh oui, j'ai la faiblesse d'en être irrité. Josyane